• Transport de marchandises pour l’Iran

  • TRANSPORTS FRANCE - IRAN

    Transport routier international FRANCE - IRAN

    Depuis que l’essentiel des sanctions européennes qui frappaient l’Iran au titre de son programme nucléaire ont été levées le 16 janvier 2016, les échanges commerciaux avec ce pays sont en forte croissance.

    L’année 2016/2017 promet d’être celle du rebond. D’après la Banque centrale, la croissance du PIB iranien en volume aurait atteint 7,4% en glissement annuel  au premier semestre. Selon les dernières prévisions du FMI, elle devrait s’établir à 6,6% en année pleine.

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  • INFORMATIONS DU MINISTERE DE L’ECONOMIE ET DE FINANCES FRANCAIS

    La France conseille aux entreprises s’intéressant au marché iranien de s’assurer que l’opération envisagée (nature, clients, intermédiaires et circuit financier, biens et services proposés à la commercialisation) est conforme à la règlementation européenne en vigueur. Dans cette optique, il est recommandé de consulter la page du site internet de la Direction générale du Trésor, consacrée aux sanctions : http://www.tresor.economie.gouv.fr/3745_iran et de prendre connaissance du guide pratique sur les sanctions résiduelles : http://www.tresor.economie.gouv.fr/File/432988

    Avec un PIB de 374 Mds USD en 2015, l’Iran se situait au 28e rang des économies mondiales. Ses 80 millions d’habitants (dont environ 40% de moins de 25 ans et 75% d’urbains) en font le premier marché du Moyen-Orient par la taille. Le PIB par habitant était de 4900 USD en 2015 (17 350 USD en PPA) et l’indice de développement humain de 0,766 (69e rang mondial).

    Alors que l’Iran est doté des quatrièmes réserves mondiales prouvées de pétrole et des premières réserves prouvées de gaz, la dépendance de son économie au secteur des hydrocarbures reste forte. Cependant, fort de sa base industrielle (automobile, ciment, sidérurgie, mines, pharmacie, etc.), l’Iran est une des économies les plus diversifiées de la région.

    Au plan macroéconomique, l’Iran a connu une contraction cumulée de son PIB réel de 8,5% sur les exercices 2012/2013 et 2013/2014 sous l’effet des sanctions renforcées mises en place à partir de 2012. Après un éphémère rebond en 2014/2015 (+4,3%), la croissance a été de nouveau négative (-1,8%) en 2015/2016. A contrario, l’année 2016/2017 promet d’être celle du rebond. D’après la Banque centrale, la croissance du PIB en volume aurait atteint 7,4% en glissement annuel au premier semestre. Selon les dernières prévisions du FMI, elle devrait s’établir à 6,6% en année pleine. Ce regain d’activité est essentiellement imputable à la reprise plus rapide qu’attendu de la production et des exportations de pétrole brut (l’Iran a retrouvé ses niveaux d’exportations de brut d’avant la mise en place des sanctions renforcées), liée directement à la levée des sanctions internationales.

    La reprise actuellement à l’œuvre pourrait cependant perdre en intensité à mesure que la production pétrolière se rapproche de son plafond théorique. Sa pérennité dépendra notamment de la mise en œuvre de réformes structurelles (amélioration de l’environnement des affaires, unification durable des taux de change, assainissement du secteur bancaire, etc.).

    En raison du durcissement des sanctions internationales, nos échanges commerciaux avec l’Iran se sont effondrés ces 10 dernières années, ramenés à 515 MEUR en 2014 alors qu’ils s’élevaient à 3,7 Mds EUR en 2004. Pour la première fois depuis 2010, ils sont repartis à la hausse en 2015, tirés par la progression de nos exportations (+24% à 562 MEUR). Ce redémarrage s’est fait à la faveur de la bonne tenue de nos ventes de produits pharmaceutiques et d’équipements médicaux. Le redressement de nos échanges s’est amplifié en 2016 (+236% en glissement annuel). Cette tendance résulte de la bonne tenue de nos exportations (+29% à 722 MEUR), mais surtout de la très forte progression de nos importations (+2000% à 1,4 Md) à la faveur de la reprise de nos enlèvements de pétrole brut rendue possible par la levée des sanctions.

    Source: Ministère de l’Economie et des Finances de la France